Carrefour Porte de Hal

De ɴon-ᴀ
Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Bonjour,

J'écris ce message après avoir longuement réfléchi et digéré cet épisode traumatisant.

Ce Samedi 9 Juillet, aux alentours de 17 heures, je me rends avec un ami au Carrefour Porte de Hal (Chau. de Forest 32, 1060 Saint-Gilles, Bruxelles, BE). Je prends une bouteille de Ricard au Herbes et la stocke dans ma poche de short de façon apparente, le temps de continuer mes emplettes. Alors que nous sommes au fond du magasin à la recherche de glaçon, je sens quelqu'un m'aggriper agressivement le bras et commencer à me tirer vers la sortie. Ce sont vraisemblablement deux vigiles mais qui ne portent aucun signe distinctifs de leur rapport avec le magasin. Sans vraiment bien comprendre ce qu'il nous arrive, on se retrouve après les caisses, dans un couloir sombre et non vidéographie qui méne au stock / à l'endroit des consignes. Les vigiles nous accusent d'avoir voulu voler cette bouteille (minority report much ?), nous insultent et crient. A ma plus grande frayeur, je me fais ruer de coups par l'un d'eux. Il me porte d'affilé deux coups au visage, l'autre continuant à crier et impose à mon ami de s’asseoir au sol. L'un des vigiles me remets un coup au visage et me demande aussi de me mettre au sol avec mon ami. Je suis totalement apeuré et tremble sans même pouvoir parlé tellement je suis choqué, surpris et traumatisé de ce qu'il vient de se passer. Au moins deux caissier/équipiers polyvalents et un manager (veste différente, plus agé, etc..) sont passé dans le corridor alors qu'il y avait des cris, des coups, en somme une situation assez sordide: malgré mon regard apeuré à leur encontre, aucun de ces autre employés ne nous à aidé, ou dit quoi que ce soit aux deux barbouzes de vigiles. Ils étaient plutôt en complaisance avec eux, et donnait à cette scène un caractère assez habituel pour eux... Une fois que nous somme bien à leur merci, après m'avoir frappé, et maintenant que nous les regardons d'en bas, il nous disent que nous allons devoir payer la bouteille (ce que nous avions de toute façon l'intention de faire en premier lieu) mais aussi une amende de 50€. Ils veulent bien s'assurer que nous allons payer ces deux parties avant de nous laisser retourner en caisse avec eux. Apeurés et complètement à leur merci, nous acceptons évidemment cette "amende" (racket) privée qui nous est imposée. Nous ressortons alors de ce corridor sombre sans caméra et nous dirigeons à une caisse. L'un des vigiles dit à la caissière «tu leurs fait payer la bouteille et l’amende». Nous payons donc 20€ en liquide, puis la caissiere veut nous faire payer les 2€ et quelques restants (la bouteille coutant 22,00€ et quelques) et les 50 d'«amende» : cela ne marche pas, car mon ami n'a pas de bancontact, il à une VISA ! Après insistance du vigile, la caissière trouve finalement une manière de faire payer cet amende via la visa, retire un billet de 50€ de sa caisse pour la donner en main propre au vigile. Le vigile nous somme ensuite de quitter les lieux, et nous demande de ne plus jamais remettre les pieds dans son carreffour.

JE SUIS TOTALEMENT OUTRé ET CHOQUé DU COMPORTEMENT DE CES DEUX VIGILES. ILS PENSENT ETRE DETENTEURS DE LA LOI, OU JE NE SAIS QUOI MAIS C'EST UN COMPORTEMENT INADMISSIBLE.

J'aimerais au plus vite une réponse de votre part ! Bien que ce magasin soit franchisé, je ne crois pas qu'il ait sa propre législation non plus. Coups, racket, le tout hors caméra, et réussir à nous faire faire un «retrait-amende» de 50€ avec une carte VISA, franchement je trouve ça complétement abusé. Pour rappel, la bouteille n'a jamais été «volée» du magasin, et nous avons été trainés dans ce coin sans caméras par pure intuition malsain des deux chiens de garde enragés qui servent de vigiles à ce magasin.

Bien à vous,

Martin Campillo